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Frey Evans
Bibliothécaire
Frey Evans
Messages : 2
Race : Fantôme
Emploi : Bibliothécaire
Bibliothécaire
Jeu 28 Mai - 17:36

Fiche de Présentation





Ti-gars




Informations


NOM : Evans
PRÉNOM : Frey

ÂGE : 24 ans (72 ans)
SEXE : Masculin
ORIENTATION : Hétérosexuel
RACE : Fantôme
NATIONALITÉ :  Canadienne
POUVOIR : Toucher de l'inventeur et Psychométrie
POSTE : Bibliothécaire
EMPLACEMENT DE LA MARQUE : Sur le poignet, proche de la paume gauche
ANNÉE D'ARRIVÉ AU MANOIR : 1969

DESCRIPTION PHYSIQUE (Humaine) :
Frey est un jeune homme de 5pi8, 130lbs mouillé. On le devine bien, il est loin d'être imposant. Physiquement, il ressemble plus à un petit nerd qu'un grand sportif. Ses cheveux tombent sur ses oreilles et il semble avoir besoin d'une bonne coupe de cheveux depuis un bon bout de temps. Ses cheveux sont de couleur chocolat et relativement plat. Ses yeux d'un bleu-gris presque transparents sont perçant et sincère. Son visage est figé dans une expression d'inquiétude constante. Quand il sourit, il montre ses dents blanches et droites. Sa peau est pâle et froide. On aurait dit que parfois, il est presque bleuâtre. Frey a de grandes mains habiles et grâce à ça il est capable de prendre plusieurs plats de la cuisine pour les apporter dans la salle à manger. Quand il n'est pas en uniforme pour travailler, il est souvent habillé des vêtements de son époque. Une veste, un cardigan, des pantalons propres et des souliers de ville. Habituellement, il a l'apparence d'un jeune homme poli qui vit une honnête vie et qui est toujours là pour aider les autres. De base, c'est ce qu'il était aussi, mais même après la mort, il n'a jamais vraiment changé. Il a toujours un crayon sur lui. Toujours.
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE :
Frey n'est pas quelqu'un qui parle beaucoup. Il est de nature calme et réservé. Sa passion principale est l'écriture. Il est capable d'imaginer des histoires à partir d'un objet ou une silhouette. Il adore écrire des histoires sur les clients et parfois même ses collègues. Depuis qu'il est employé au Manoir, il a tellement écrit de romans que sa chambre ressemble littéralement à une bibliothèque. Mais jamais il a fait lire une de ces histoires à qui que ce soit. Avec l'écriture, vient la lecture aussi. Il a lu au moins deux fois tous les livres de la bibliothèque du Manoir. Frey donne rarement son opinion. Il n'aime pas les conflits et aime mieux rester neutre et ce, même s'il est impliqué. Frey est capable de faire deux choses en même temps. Parfois, il a l'air complètement dans la lune, mais il est capable de travailler en tant que serveur à son plein potentiel quand même. Frey est quelqu'un de très respectueux et n'insulte jamais personne. Il est très poli. Maintenant, passons au trait de caractère le plus présent chez Frey : l'anxiété. Frey est l'homme le plus nerveux que vous n'ayez jamais rencontré. Il sursaute à un n'importe quoi, ce qui provoque parfois des situation ridicule. Il n'est pas maladroit : il est nerveux. Les seuls fois où il est détendus, sont les moments où il écrit (ou parfois quand il va se faire masser).

DESCRIPTION PHYSIQUE (Magique) :
L'apparence physique de Frey ne change guère de son vivant. Oh bien sur il est un peu plus pâlot, peut-être même beaucoup. Quand on touche sa peau, il est froid, pas frigide, mais un peu plus froid que la température de la pièce. Ce petit détail amène souvent les clients à demander si Frey a besoin d'une veste pour se réchauffer. Pourtant, Frey n'a pas froid. Quand on l'observe un peu mieux, on remarque aussi que la couleur de sa peau n'est pas seulement pâle, mais un peu bleuté. Même que dans la lune brille, ça parait beaucoup plus qu'il ne devrait le montrer. Heureusement, Frey aime mieux l'ombre de ses bouquins que la lueur de la lune.




Histoire


HISTOIRE :
Né en 1943, au Canada, Frey a eu la chance d’avoir une famille particulièrement aimante. Il était le deuxième ainé de ses frères et sœur d’une famille de 6. Son père était un bon menuisier de village et sa mère restait à la maison pour éduquer ses enfants. La chicane se faisait rare et la famille s’entendait plutôt bien. Ils étaient dans un petit village en Colombie-Britannique et les habitants se connaissaient tous. Il y avait très peu d’hommes dans le village puisqu’ils  avaient tous été envoyés à la guerre, mais (avec de la chance) le père de Frey était blessé à la jambe depuis la première guerre. Il avait donc eut la chance de pouvoir rester auprès de sa famille, même à la deuxième grande guerre. Durant les crises économiques, tout le village se soutenait. Parfois, on considérait le village comme une grande famille.

Frey a eu l’école à la maison pour tout son primaire. Accompagné par ses frères et sœurs, leur mère leur apprenait à lire, écrire et compter. Mais ce fût à 1955 que Frey quitta le confort de sa maisonnette pour aller au Secondaire. L’école secondaire du village n’était pas très grande et malgré qu’il n’ait jamais été à l’école publique, il connaissait déjà les jeunes qui y allaient puisque le village se connaissait. Malgré cela, Frey n’était pas quelqu’un qui allait socialiser avec les autres. Il aimait mieux passer son temps dans la bibliothèque, à lire et relire les livres qui arboraient les murs. C’est dans ces années qu’il tomba en amour avec le théâtre. Il se trouva rapidement un petit travail de plongeur dans le quartier et dépensait ses payes en billets pour le théâtre amateur. Même si ses parents auraient espéré qu’il ne dépense pas nécessairement son argent là-dedans, ils étaient des parents compréhensifs et encourageaient leur enfant dans ce qu’il aimait. C’est en 1961 que la vie de Frey changea. À 18 ans, ses partirent en voiture pour l’épicerie, mais ils ne revinrent pas. Un face à face mortel pour le père et la mère se ramassa à l’hôpital. Bien sûr, les enfants se précipitèrent à l’hôpital, au chevet de leur mère. Elle était très faible, mais elle tenait à parler à ses enfants avant de partir. Ce fût un moment très difficile pour la famille : de voir leur mère dire ses derniers mots, de leur dire qu’elle les aimait et leur dire ses dernières volontés Tout le monde pleurait en silence. Il faut préciser que les 6 enfants étaient dans leur adolescence. Le plus vieux avait 19 ans seulement. Chacun des enfants se fit donner un petit quelque chose par leur mère. La famille n’était pas très riche, mais de base, ils vivaient bien. Quand ce fut le tour de Frey, sa mère lui demanda de se rapprocher. Elle lui glissa une petite clé, du genre celle pour ouvrir les coffres à bijoux. Elle lui murmura de regarder dans le double tiroir de sa commode. Frey avait une boule dans la gorge et il n’arriva pas à lui répondre. Il se contenta de verser une larme en prenant la main de sa mère.

Quelques heures plus tard, les 6 enfants étaient devenus des orphelins. Ils rentrèrent à la maison, le cœur gros. Ils n’osaient pas parler. Certains allèrent dans leur chambre, d’autre restèrent dans l’entré. Mais Frey avait quelque chose qu’il voulait voir. Il s’engagea dans les escaliers du deuxième et alla directement à la chambre des maîtres. Quand il ouvrit la porte, il pouvait encore sentir le parfum de sa mère et voir le bordel de son père. Il ne s’empêcha pas d’esquisser un sourire. En traversant la pièce vers la commode de sa mère, il sorti la clé que sa mère lui avait donné quelques moment plus tôt. Il ouvrit délicatement le tiroir et sorti les effets de sa mère pour découvrir une petite serrure dans le fond, de la grosseur de sa clé. Frey avala difficilement. Il glissa la clé dans la serrure et ouvrit le double fond. Il n’y avait qu’un unique paquet emballer de papier kraft. Le jeune homme le prit et alla s’assoir sur le lit de ses parents. Il hésita longuement avant de l’ouvrir. Dedans, il y avait deux livres et une note. Il prit la peine de lire la lettre sous l’écriture de sa mère.

«Cher fils,
Pour ton anniversaire, nous avons cherché quoi t’offrir, ton père te moi. Nous s’avions pertinemment, que tu voulais des livres, mais ils se font de plus en plus chers. Nous ne voulons pas de décevoir en te donnant ce que nous avons trouvé. Nous espérons que tu l’aimeras et que tu le dévoreras comme tu as dévoré les autres avant celui-là. Je suis désolé qu’il soit en si mauvais état, mais c’était le seul qu’on a trouvé.

Quant à l’autre, je pense qu’il est temps que tu libère ton esprit et que tu laisses ton imagination se développer. J’ai bien hâte de lire ce que tu es capable d’écrire.

Maman xox

P.S : Regarde sous la première page»

Le premier livre était une édition un peu abîmé de «The Abandoned » par Paul Gallico. C’était un livre qu’il n’avait encore jamais lu. Quant à l’autre, c’était un petit calepin ligné, vierge. Et sous la première page de celui-ci, il y avait un billet pour une pièce au théâtre de la ville voisine qui allait interpréter « Le Malade Imaginaire » de Molière. Frey vérifia les inscriptions, et ses yeux ne pouvaient pas quitter le billet des yeux. Ce n’était pas pour du théâtre amateur. C’était un vrai théâtre, une grande salle, avec des acteurs professionnels. Les yeux de Frey se remplirent de larmes. L’anniversaire de Frey était seulement dans 2 semaines. Le paquet devait surement être son cadeau préparé d’avance. Le jeune homme passa plusieurs minutes assit là, sans bouger, à seulement fixer les deux livres, le billet et la lettre. L’adolescent bougea enfin quand il senti la faim le hanter. Il prit une chainette pour y accrocher la clé qu’il mit autour de son cou. Il garda précieusement la lettre et le billet. Rangea se livre et quand il arriva au calepin, il s’arrêta. Il n’avait jamais écrit d’histoire auparavant. Pourquoi sa mère croyait-elle qu’il allait être bon écrivain ?

Les années passèrent et Frey n’avait pas encore lu son livre que ses parents lui avaient offert. Par contre, sa mère avait bien raison : il avait eu la piqure de l’écriture. Même qu’il ne pouvait pas s’arrêter. Au début de l’année 1967, il fit ses adieux à ses frères et sœurs, parce qu’il avait l’intention de voyager. Il ne voulait pas aller très loin, mais il voulait se cultiver et quitter le petit village qu’il aimait tant. Il ne prit qu’un sac à dos et parti.

Ce fut dans la mi-année qu’il signa pour rester une nuit à un Manoir qu’il avait trouvé sur son chemin. Il trouvait cette place très agréable et se rendit vite compte que ces lieux avaient aussi une bibliothèque. C’était une bibliothèque immense, comme il ne les avait jamais vus. Même qu’il ne se rendait pas compte le nombre de temps qu’il passait à lire. Une journée, une semaine, un mois, une année, quelle différence ?

Deux ans passèrent. Du moins, Frey ne s’en rendait pas compte. C’était une nuit fraiche où il se réveilla en sursaut, avec une idée de génie. Il avait une superbe idée pour une histoire et il devait absolument l’écrire. Il se leva en pyjama et chercha pour un crayon. Il n’en trouva nulle part. Il prit la peine de sortir, cherchant un employé pouvant l’aider. Il fit le rez-de-chaussée au complet sans trouver personne. La nuit était noire et Frey avait de la misère à voir autour de lui. C’est quand il passa à côté d’une porte fermé qu’il s’arrêta. Il entendit du bruit derrière et s’approcha. Il ouvrit la porte en demandant s’il y avait quelqu’un, mais tout ce qu’il vit, c’est un monstre. Un monstre ? Oui un monstre. C’était plutôt flou, mais il y avait un monstre poilu d’environ 3 mètres. Frey n’en fit ni une, ni deux, il cria et s’enfuit en courant. Il déguerpit vers sa chambre. Il s’enferma, hors d’haleine. Alors qu’il s’en allait faire ses bagages, une lumière blanche l’aveugla et quelques secondes plus tard, son corps tomba mollement sur le sol.

On aurait pu croire que son histoire était fini, mais non. Quelques jours plus tard, il se réveilla dans un lit du Manoir. Le problème, c’est qu’il était mort. Mais il pouvait respirer, toucher, entendre, et faire tout ce qu’il pouvait faire quand il était vivant. La majordome lui expliqua qu’il était en effet… mort. Frey était tellement confus qu’il quitta la pièce et erra ainsi pendant quelques mois : évitant les vivants, essayant de comprendre.

C’est en 1969 qu’il revint vers Shaya, acceptant d’être serveur dans le Manoir. Mais les choses changèrent en 2014, quand l'actuel Bibliothécaire fût avalé par un livre plutôt agressif. Il demanda alors son transfert pour prendre sa place.


LIENS :
Shaya : Boss
Lylandra : Bonne amie
Patricia : Ancienne gérante
Dave : Fils adoptif/Petit frère adoptif
Maerolb : Meilleur ami


IRL


NOM : Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom
ÂGE : 22 ans
EXPÉRIENCE RP : Quand même bonne
DOUBLE-COMPTE : Pas pour l'instant ; )
PRÉSENCE SUR 10 : 6/10
COMMENT AVEZ-VOUS ENTENDU PARLÉ DE NOUS : Des amis
CODE : [ ok ]
COMMENTAIRE : arigatou gozaimasu#SBAFFF



Frey Evans
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Gabriel Luman
Ange
Gabriel Luman
Messages : 88
Race : Ange
Emploi : Fondateur du Manoir
Ange
Sam 30 Mai - 15:50
Bienvenu parmi nous! J’attends avec impatience ton histoire!
Gabriel Luman
http://lemanoir.anciennestar.com
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Frey Evans
Bibliothécaire
Frey Evans
Messages : 2
Race : Fantôme
Emploi : Bibliothécaire
Bibliothécaire
Dim 31 Mai - 1:00
Voilà j'ai fini~
Frey Evans
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Gabriel Luman
Ange
Gabriel Luman
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Race : Ange
Emploi : Fondateur du Manoir
Ange
Dim 31 Mai - 20:43
Tu dois inscrire ton âge physique ET ton âge réelle.
Gabriel Luman
http://lemanoir.anciennestar.com
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Lucy Grigori
Diable
Lucy Grigori
Messages : 27
Diable
Lun 1 Juin - 20:43
C'est OK pour moi~
Lucy Grigori
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Gabriel Luman
Ange
Gabriel Luman
Messages : 88
Race : Ange
Emploi : Fondateur du Manoir
Ange
Lun 1 Juin - 21:00
Tout est ok pour moi! Bienvenue au Manoir!
Gabriel Luman
http://lemanoir.anciennestar.com
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